Lorrain d’origine, Léo Mayeur a débarqué par hasard dans l’univers de la photographie. Nostalgique des vieux appareils et des pellicules, il a succombé à l’argentique et à ses possibilités créatives exceptionnelles.
Mais il exprime aussi son talent avec des boîtiers numériques en tant que créateur de contenu.

La photo, une belle rencontre

Après des études de communication afin de mettre à profit sa sensibilité créative au service du digital, Léo a fait ses premiers pas dans la vie active au poste de chef de projet social media pour de grandes structures.

Mais peu à peu, il se laisse séduire par la création de contenu. D’abord modèle photo, il poste des clichés de shooting et de ses tournages publicitaires.
Un beau jour, il a eu envie de passer de l’autre côté de l’objectif afin de découvrir de nouveaux terrains de jeux créatifs.
« J’avais ce désir et ce besoin de m’accomplir au travers d’un nouveau projet depuis un bon moment », confirme Léo.

La création de contenu est donc devenue sa passion et son métier avec des créations pour des marques spécialisées skincare et lifestyle.

La photo de mode, de paysage et de portrait pour vivre et ressentir

Et cet amour pour la photo est né de son envie de s’exprimer autrement et de vivre et ressentir à travers l’image capturée. Ce qui le fascine véritablement, c’est la couleur, le grain, le style, l’ambiance autour de la création de l’image. Sans compter le traitement et la direction artistique qui y donnent vie.

Amoureux de l’argentique, Léo aime le grain sur les photos, les tons chauds et les contrastes alliant douceur et lumière, notamment grâce aux pellicules. Et il précise : « j’aime le vintage et le twister, jouer avec les ombres, les reflets et la lumière en y apportant ma touche personnelle, que ce soit en photo de mode, de portrait ou de paysage ».
Un art de vivre en somme qui épanouit Léo.

Une lumière parfaite au large de la baie de Saint-Tropez

« À l’occasion d’une escapade en mer dans le sud de la France durant l’été 2024 au large de la baie de Saint-Tropez, j’ai eu la chance de capturer des instants de vie en mer. Tout était réuni pour créer les clichés parfaits : la lumière, les reflets des rayons du soleil venant caresser la surface de l’eau et les couleurs vibrantes d’un été bien installé. L’instant était suspendu et je suis très fier de cette série de visuels. »

Trois jours au Festival de Cannes, inoubliable

En 2018, Léo a eu la chance d’être sélectionné par l’organisation du Festival de Cannes pour vivre au coeur de ce rendez-vous incontournable du cinéma.
Entre passion pour l’univers, montée des marches et rencontres, le jeune photographe a vécu trois jours mémorables. De quoi réaliser de bien belles images...

La pratique est la meilleure des formations

Léo étant autodidacte et s’étant formé à force de pratiquer, il n’a qu’un conseil, pratiquer. C’est la meilleure façon d’habituer son œil et de développer son sens artistique.
Bien entendu, pour se perfectionner comme pour débuter dans la photo ou la vidéo, il faut savoir rester curieux en posant des questions et aller à la rencontre d’experts comme Panajou par exemple.

Avec l'essor des réseaux sociaux, vous pouvez trouver facilement les informations au travers de tutoriels, de retours d’expérience et de conseils. Internet a démocratisé l’apprentissage, ce qui permet d’apprendre si on en a vraiment envie.

Nikon et Sony pour Léo

Etant féru d’argentique, Léo a récupéré le Chinon CM-4s de son papa et réalise des photos riches en grains comme il les aime.
Mais Léo a d’abord manié un Nikon D3 légué par un photographe qui cessait son activité et dont il été le modèle. Il avait choisi un objectif Nikon 50 mm f/1.4 puis un objectif Sigma 70-300 mm.

Récemment, Léo a opté pour Sony en craquant sur le boîtier numérique Sony Alpha 7III qui le ravit “un vrai petit bijou qui me suit partout" ; il est léger, robuste et la qualité photo comme vidéo est parfaite pour mon usage actuel ».

Il l’équipe d’un objectif Sony 50mm f/1.8 très polyvalent et prévoit d’en acquérir d’autres pour élargir son champ de compétences.
Côté accessoires, Léo transporte souvent un filtre de diffusion qui apporte de la douceur aux couleurs et crée une ambiance un peu vintage sur les images.

« L’avenir appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves », Éléanor Roosevelt

Avec Panajou, nous étions faits pour nous rencontrer"

Léo est convaincu que tout est question de timing et que sa rencontre avec Panajou devait se produire : « Avec Panajou, nous étions faits pour nous rencontrer, c’était écrit ».
Après avoir cessé la création de contenu, il a repris la photo avec une vision plus claire et une direction artistique plus affirmée.

Une fois installé à Paris, Léo découvre la boutique Panajou de Paris. L’esprit de famille qui s’en dégage retient d’emblée son attention sans oublier l’expertise des équipes.

Néanmoins, il n’ose pas franchir la porte du magasin.
C’est par message privé sur Instagram que Léo partage ses envies, son projet et ses ambitions à la Team Panajou. Le début d’une belle histoire à ses yeux.

Photo de tournage, périple en Californie et échappée au Vietnam

Léo aimerait beaucoup capturer les coulisses de plateaux de tournage et d’en extraire les décors, les lumières et les émotions. Le créateur de contenu a également envie d’aller en Californie, à Palm Springs, afin d’en figer le style « Desert Modernism » et l’ambiance cinématographique.
Mais Léo voit encore plus loin avec un projet photo au Vietnam, une vraie quête visuelle et une connexion avec soi : un voyage mêlant ainsi création et introspection.

Le mot de la fin est à Léo...

« Je suis persuadé que rien n’arrive jamais par hasard, et qu’à partir du moment où l’on croit en soi, en son projet, en ses valeurs et en son talent, mille et une choses peuvent survenir ... surtout si on fait les choses avec intention, conviction et sincérité. »

Dans le sac de Léo

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